Certainement parce que je suis mazo. Je veuuuux paaas aller à l'étranger. J'ai peuuur man-man :0001:
A moins d'améliorer mon anglais de manière phénoménale histoire de partir un peu plus rassurée d'ici 1 an et demi mais bon...

D'un côté j'aimerais bien, parce que voilà je vais quitter la France mais d'un autre côté je vais quitter la France... Vous comprenez le dilemme ? C'est ce qui s'appelle avoir le cul entre deux chaises.

J'aimerais aller à S.a.n. F.r.a.n.c.i.s.c.o. ou je sais pas où in GB mais les States c'est encore plus loin !!!
                                    
                                   

Puis d'un sens ce voyage sera utile moi qui rêve d'une grande carrière. Si ça se trouve je suis pas du tout disposée à être enseignante encore moins enseignante en traducto.
Rho pis t'façon je pourrais faire quoi d'autre, hein ? ---

J'aimerais loger chez Mme Madrigal pas pour le pétard hein je fume pas mais elle prend soin de ses locataires mais je crois qu'elle est morte. Elle avait un certain âge dans les 1970s...

                                                                            

En attendant tout ce que je peux faire c'est écouter et regarder la BBC to improve my pathetic english...

A ceci je voudrais ajouter qu'un blog c'est chiant, il n'y a plus d'intimité tout le monde sait ce que je ressens mais l'exhibitionnisme l'emporte...

Ca c'est tout frais de ce matin fin de cette nuit plutôt.
J'étais avec Pauline pour un colloque sur l'architecture normande où ma prof de traducto était intervenante.
Un immense bâtiment se dressait devant nous.
En guise d'introduction, nous nous retrouvons dans les airs, survolant ce qui était je pense la Normandie avec des plans d'eau où des phoques frappaient dans leurs "mains" et en rythme. ( mdr c'est le passage que je préfère) De l'autre côté du plan d'eau nous pouvions apercevoir une Arras médiévale.
(Au moment où je vous écris je suis prise d'un fou rire (fou-rire? fourire ?) certainement du à l'ampleur de mes conneries.)
Et d'un coup je fais remarquer à Pauline le contraste flagrant qu'il y avait ente la grandeur du bâtiment (ou devrais-je dire monument) et le petit portail en fer de la cour véhiculant une péjorativité (j'aime inventer mes propres mots, c'est plus rigolo). Ce portail représentait l'entrée d'une classe ouvrière de détenus ou de victimes je ne sais plus. Je m'insurgeais en disant que ce n'est pas parce qu'il s'agissait d'une classe différente qu'elle ne méritait pas un portail tout aussi grand que l'ensemble du moment.

Et je ne me souviens plus de rien, c'était peut-être la fin du rêve.
Mais je crois que je mélange tout.....

Celui-ci a eu lieu il y a une semaine.
J'étais dans une ville quelconque mais là manque de pot : on était en pleine révolution. 
Des têtes nucléaires pendaient près du sol prêtes à écraser un passant. Il y avait des corps parfois.
Mais je vous rassure,on peut pas qualifier ça de cauchemar quand vous saurez la suite.

Là je m'embarque dans une espèce de passage et je passe ma tête à travers un rideau, je regarde en cachette. Et là !!! Je vois une troupe de mamies attablées dans une pièce et en bout de table je vois Wagner!
Oui Wagner et il se trouve que dans mon rêve j'en étais fan. :0012:
Wagner avec les mamies interprétait au piano "Somebody to Love" de Queen. Alors j'étais aux anges et je m'adresse à la personne qui se trouvait à côté de moi (pas moyen de me rappeler qui s'était) "Tu me prendras en photo à côté de lui ?" :0085:
Mais à force de zieuter on s'est fait griller et finalement inviter au repas. Un type nous a apporté du chorizo et du saucisson sec... Lol...

Là trou noir. Mais mon rêve reprend.

Je me trouve toujours accompagnée de la même personne dans un ascenseur peu commun. Nous étions dans la cage d'ascenseur assis, les pieds dans le vide (aucun stress dans le rêve je précise que tout cela paraissait naturel) et là je reconnais deux des ptites vieilles qui se trouvaient chez Wagner. Mais en beaucoup beaucoup moins aimable.
L'une d'elles me dit : "De toute façon Wagner sait que vous allez nous tuer". :0067:
A ce moment précis je n'avais aucune envie de tuer une mémé. Mais le fait d'avoir prononcer cette phrase a déclenché une espèce de prophétie.
La deuxième petite vieille assise à ma gauche tenait dans ses mains une boîte en carton chargée de groseilles noires et rouges. Je savais qu'elles étaient toxiques et la mamie s'acharnait à m'en déposer sur le jean que je repoussait rageusement.
Et là j'en ai eu marre. Sous les sièges se trouvait une petite poignée. (vous savez comme sur les sièges de bureau pour s'abaisser, remonter) Et bien pour descendre ou monter dans l'ascenseur il fallait actionner cette poignée. Et la vieille me faisait tellement chier que je l'ai actionnée afin qu'elle ne tombe dans le vide en s'écrasant au sol. Mais la chute était beaucoup trop longue et la mamie s'est posée au sol dans une faible secousse.
Je me suis aperçue qu'effectivement la mamie devenait un témopin génant.

ET PAF ! Me suis réveillée.
Celui-ci a bien fait rire mes amis en particulier le passage avec Wagner je crois.
Niveau bizarrerie ce n'est pas le plus fort !

A+